Сlassements de la proposition simple

Il existe plusieurs classements de la proposition simple, basés sur des critères différents. Les principaux d’entre eux sont: 1) le but communicatif de la proposition; 2) sa structure grammaticale.

D’après le premier critère on distingue trois types de proposition: a) la proposition énonciative (déclarative, assertive), b) la proposition interrogative, c) la proposition impérative.

La proposition énonciative contient l’énonciation d’un fait, positif ou négatif. La proposition énonciative à deux termes comporte un verbe à la forme personnelle à n’importe quel mode, sauf l’impératif: Une lueur pâle et triste s’infiltrait dans la chambre. (Troyat)

La proposition interrogative a pour objet de poser une question à qn, donc, contrairement à la proposition énonciative, la proposition interrogative suppose une réaction (c’est-à-dire, la réponse): Quand est-ce qu’on se revoit? (Troyat)

Dans la proposition impérative le sujet parlant impose à son locuteur une action déterminée sous des formes différentes (l’ordre, le conseil, la défense, la prière, etc.): Laissez-moi passer, dit-elle très calme. (Sagan)

Chacun des trois types peut être une proposition affirmative ou négative. L’exclamativité peut se combiner avec l’interrogation, l’assertion et l’injonction.

Le deuxième classement de la proposition simple est basé sur la quantité et la forme des termes essentiels. On distingue les propositions simples proprement dit et les propositions simples compliquées/développées (Pierre s’approche en parlant). Parmi les propositions simples proprement dit on distingue les propositions à structure réduite et les propositions à deux termes. Les propositions à structure réduite peuvent être les propositions incomplètes (certains éléments omis dans la situation) (A qui la faute? A bon chat, bon rat. Pourquoi cet arrêt?), les mots-phrases (Oui. Non. Si. Voilà. Mais non. Par exemple.) et les propositions à un terme (nominales avec préposition (A la gare.) ou sans préposition (Université. Soir d’octobre. Silence. Grosses chaleurs. La nuit.), verbales (personnelle (Entrez!) ou non-personnelle (Sortir!)), pronominales (Moi. Lui. Elle.), adverbiales (Hier. Beaucoup. Aujourd’hui.), adjectivales (Etonnant! Formidable! Hallucinant!)). Les propositions à deux termes peuvent être verbales (Pierre part.), nominales (Pierre est étudiant/content.), verbo-nominales (Pierre part content.) d’après la forme du prédicat; personnelles (Pierre part.), indéterminées (On dit.), impersonnelles (Il pleut.) d’après la forme du sujet.

Le plus souvent, la proposition simple comporte deux termes essentiels: le sujet et le prédicat exprimé par le verbe à la forme personnelle: Un beau matin, ma mère me déposa à ma place. (Pagnol). Le sujet et la forme personnelle du verbe constituent le noyau prédicatif de la proposition.

Cependant, certaines propositions ne contiennent qu’un seul terme essentiel: Bientôt, le jour. (Troyat). Dans ce genre de cas, c’est ce terme-là, tout seul, qui forme le noyau prédicatif.

30.

Le but communicatif de la proposition est un des principaux critères du classement de la proposition simple. D’après ce critère on distingue trois types de proposition: a) la proposition énonciative (déclarative, assertive), b) la proposition interrogative, c) la proposition impérative.

La proposition énonciative contient l’énonciation d’un fait, positif ou négatif. La proposition énonciative à deux termes comporte un verbe à la forme personnelle à n’importe quel mode, sauf l’impératif: Une lueur pâle et triste s’infiltrait dans la chambre. (Troyat)

La proposition interrogative a pour objet de poser une question à qn, donc, contrairement à la proposition énonciative, la proposition interrogative suppose une réaction (c’est-à-dire, la réponse): Quand est-ce qu’on se revoit? (Troyat)

Dans la proposition impérative le sujet parlant impose à son locuteur une action déterminée sous des formes différentes (l’ordre, le conseil, la défense, la prière, etc.): Laissez-moi passer, dit-elle très calme. (Sagan)

En franҫais chacun des trois types communicatifs a ses marques particulières et se caractérise dans la langue orale par une intonation particulière.

La marque grammaticale de la proposition énonciative est l’ordre des mots direct. Ceci est une règle absolue pour le sujet pronominal: Ils y avaient sacrifié leur repos, leur situation, leurs relations. (Rolland). Dans les propositions énonciatives à sujet nominal (exprimé par un substantif nom propre ou commun) le sujet peut être placé après le prédicat (cet ordre des mots est appelé «inversion du sujet»): De tous cotés retentissent des appels au secours, des plaintes, des imprécations. (Bazin). La marque distinctive des propositions énonciatives dans la langue orale est une intonation particulière, dite énonciative (le ton baisse à la fin de la proposition).

La proposition interrogative se caractérise par des marques grammaticales spécifiques: 1) l’inversion du sujet pronominal (L’avait-il dit? Ne l’avait-t-il pas dit? Il ne savait plus. (Simenon)), 2) la reprise du sujet nominal (Mais les yeux n’avaient-ils pas une expression nouvelle? (Simenon)), 3) la formule interrogative est-ce que devant le sujet (Est-ce que vraiment je suis coléreux? (Pagnol)), 4) les mots (pronoms et adverbes) interrogatifs (Pourquoi vous me parlez sur ce ton? (Pagnol)). Les propositions interrogatives peuvent exprimer l’interrogation totale (la question porte sur la totalité de l’énoncé) (Et tu as répété ces folies à ta mère? (Pagnol)) ou l’interrogation partielle (Pourquoi tu me parles de cet individu? (Pagnol)). Dans la langue orale, c’est l’intonation qui devient une marque très importante de la proposition interrogative. Il est à noter qu’en franҫais de nos jours, surtout dans le langage parlé, l’interrogation se construit assez souvent sans inversion et sans reprise.

La marque formelle des propositions impératives en franҫais est l’absence du pronom personnel sujet dont la présence est obligatoire dans tous les autres types de propositions à deux termes. Mais la notion de proposition impérative est plus large que celle de l’impératif en tant que forme verbale. Ainsi, la proposition impérative peut contenir d’autres formes du verbe, notamment l’infinitif (Ne pas fumer), le futur simple (Vous irez chez Mme N.) de même que les substantifs, les adverbes et d’autres parties du discours: Silence! En avant! Certains grammairiens rapportent aux propositions impératives les propositions avec le subjonctif à la 3e personne du présent, qui expriment l’ordre ou la défense par rapport à la 3e personne: Qu’il barbouille des toiles sans y croire, qu’il pousse Laura au suicide, qu’il fasse ce qu’il veut. (Sagan). Dans la langue orale, c’est l’intonation qui devient une marque très importante de la proposition impérative.

Chacun des trois types peut être une proposition affirmative ou négative. L’exclamativité peut se combiner avec l’interrogation, l’assertion et l’injonction.

31.

La quantité et la forme des termes essentiels sont deux des principaux critères du classement de la proposition simple. On distingue les propositions simples proprement dit et les propositions simples compliquées/développées (Pierre s’approche en parlant). Parmi les propositions simples proprement dit on distingue les propositions à structure réduite et les propositions à deux termes. Les propositions à structure réduite peuvent être les propositions incomplètes (certains éléments omis dans la situation) (A qui la faute? A bon chat, bon rat. Pourquoi cet arrêt?), les mots-phrases (Oui. Non. Si. Voilà. Mais non. Par exemple.) et les propositions à un terme (nominales avec préposition (A la gare.) ou sans préposition (Université. Soir d’octobre. Silence. Grosses chaleurs. La nuit.), verbales (personnelle (Entrez!) ou non-personnelle (Sortir!)), pronominales (Moi. Lui. Elle.), adverbiales (Hier. Beaucoup. Aujourd’hui.), adjectivales (Etonnant! Formidable! Hallucinant!)). Les propositions à deux termes peuvent être verbales (Pierre part.), nominales (Pierre est étudiant/content.), verbo-nominales (Pierre part content.) d’après la forme du prédicat; personnelles (Pierre part.), indéterminées (On dit.), impersonnelles (Il pleut.) d’après la forme du sujet.

Le plus souvent, la proposition simple comporte deux termes essentiels: le sujet et le prédicat exprimé par le verbe à la forme personnelle: Un beau matin, ma mère me déposa à ma place. (Pagnol). Le sujet et la forme personnelle du verbe constituent le noyau prédicatif de la proposition.

Cependant, certaines propositions ne contiennent qu’un seul terme essentiel: Bientôt, le jour. (Troyat). Dans ce genre de cas, c’est ce terme-là, tout seul, qui forme le noyau prédicatif. Les propositions nominales dont le terme essentiel est un substantif (moins souvent un pronom) sont les plus variées quant à leur valeur sémantique et modale. Les plus nombreuses sont les propositions existentielles qui sont utilisées pour décrire, en forme laconique, les personnes et les faits, les objets, les actions, les sentiments, les paysages, les événements ayant lieu à un moment donné: Journées courtes, longues nuits (Bazin). Les monorèmes descriptifs sont utilisés surtout dans la langue littéraire pour créer un décor: Autour d’elle, le froid, la brume, des buissons noirs, des feuilles pourrissantes. (Troyat). Une autre espèce de propositions nominales est représentée par les monorèmes démonstratifs dans lesquels le terme essentiel est accompagné de mots démonstratifs: voilà l’hiver. On relève aussi les monorèmes vocatifs (Mon cher ami!). Un type particulier des monorèmes nominaux est celui qu’on appelle en russe «назывные» et qui apparaît en titres, dans les enseignes, les étiquettes, etc.: «Pharmacie», «Fruits et légumes». La particularité des propositions monorèmes est qu’elles servent souvent à marquer une appréciation: Merveilleux enfants tahitiens! Jamais un cri! Jamais une larme! (Merle). Les monorèmes exprimant différentes valeurs affectives se caractérisent dans la langue orale par une intonation exclamative: La belle affaire! Canaille! Il importe de distinguer les propositions à un terme, grammaticalement indépendantes, et les propositions à structure réduite qui sont dépendantes de la proposition complète qui les précèdent.

32.

L'ordre des mots est un composant essentiel de la structure de la proposition. Sur le plan formel, on distingue l'ordre des mots direct et l'ordre des mots inverse, l'ordre lié et l'ordre disjoint. L'ordre des mots remplit des fonctions multiples: iconique (en exprimant la suite des événements), logico-communicative (exprime la suite de la rentrée de l’information, la séparation d’actualité de la proposition; au début de la proposition - le thème (la partie de la communication dont on dit qch), à la fin – le rhème (dit qch sur le thème); le thème est un élément essentiellement nominal alors que le rhème est un élément prédicatif; on distingue deux types de l’énoncé: les monorhèmes (contiennent uniquement le rhème et très rarement uniquement le thème) (Silence. Allez-y.) et les dirhèmes (contiennent le thème et le rhème) (Les enfants jouent. Le chien aboie.)), hiérarchique, emphatique, distinctive (en précisant le sens des mots), grammaticale (en précisant la nature d'un terme de la proposition, ou celle de la proposition entière, stylistique. Le problème de l’ordre des mots inclut deux aspects: la succession des éléments du groupe syntaxique et la possibilité de leur séparation.

La séparation de deux éléments liés grammaticalement ou sémantiquement dans la chaine de la parole est la distaction. La forme morphologique compliquée peut inclure les adverbes qualificatifs (P.ex. Il a beaucoup souffert), mais pas les adverbes de place ou de temps (P.ex. On ne peut pas dire: Il est ici venu ou Il est hier arrivé). Seul l’adjectif peut se trouver entre le déterminatif et le substantif (P.ex. Mon ancien ami). Entre le pronom outil et le verbe ne peuvent se trouver que d’autres éléments outils qui se rapportent au verbe (P.ex. Il ne m’en parle pas.). Il existe 2 causes de la distaction: 1) l’annexion des termes secondaires à un terme essentiel (P.ex. Le père regarde sans cesse ses deux garҫons, et sa peur monte de les voir se sauter à la gorge (la séparation du complément attributif (de les voir) du sujet(sa peur)), 2) la distaction exprime la séparation d’actualité de la proposition (comparez Il a beaucoup souffert et Il a souffert beaucoup).

Les deux types de succession sont possibles: progressive (du terme principal au subordonné) (P.ex. Ce garҫon de dix ans lit passionnément un livre d’aventures) et regressive (du subordonné au principal) (P.ex. Cette termitière qu’est l’usine ou Une jolie petite fille). L’inversion c’est l’écart de l’ordre de mots admis dans la langue. L’inversion du sujet et du complément dépend de deux facteurs structurels: 1) de la combinaison des groupes syntaxiques (elle est plus facile dans le groupe a deux termes S-V et presque impossible dans S-V-O (S-sujet, V-verbe, O-complément) (quand S et O sont substantifs)), 2) du caractère de S et O (les règles de l’ordre des mots sont différents pour les outils et les mots pleins (l’inversion est impossible dans la phrase «Pierre lit le livre» mais elle est possible dans la phrase «Il le lit» → «Le lit-il?»)).

Les inversions avec les S et O outils ont la fonction structuro-grammaticale (elles expriment la question, la subordination); avec les mots-pleins –logico-sémantique (elles servent à souligner le sujet comme le rhème) (Seule relie encore Fabien au monde une onde musicale, une modulation mineure).

Inversion du sujet (думаю не обязательно).

L'inversion obligatoire:

Dans une proposition insise:-Qu'elle heure est-il?-demanda Anne.-Il est midi, répondit-il.

Dans une phrase qui commence par les adverbes et les locutions adverbiales (le langage soutenu, litteraire): ainsi, aussi, encore, en vain, à peine … (que), peut-être, sans doute, du moins (по крайней мере), au moins (по меньшей мере), tout au plus, tout au moins (всего навсего), à plus forte raison (тем более, с тем большим основанием), toujours (est-il que). Ex: Peut-être Mlle Barbie est-elle chez elle.

Dans une phrase ou l'attribut est exprimé par tel (telle, tels, telles): Ex: Tel était son avis.

L'inversion facultative

1. Elle se fait pour mettre en relief le sujet ou l'attribut.

2. Le sujet est mis en valeur après les verbes intransitifs qui expriment:

- l'existence (exister, s'ajouter ...) Ex: Au lycée existaient 2 groupes.

- le lieu (se placer, se tenir, rester ...) Ex: Ici se place une histoire comique.

- le mouvement (arriver, venir, s'en aller, sortir, entrer, monter, suivre, paraître, disparaître, surgir, émerger, se dessiner, se profiler, se détacher ...). Ex: paraît un 4me personnage.

- toute sorte de bruit (sonner, retentir, éclater ...). Ex: De tous cotés retentissent des appels au secours.

- ces verbes sont fréquemment précédés d'un complément circonstanciel de lieu ou de temps.

- L'attribut du sujet se place en tête de phrase:

Ex: Difficiles, les examens.

33.

Les phrases complexes sont divisées en phrases sans conjonction (parataxe) (Les chiens aboient, la caravane passe), en phrases à conjonction (parataxe conjonctionnelle (Il parle l’anglais mais il ne le comprend pas.), hypotaxe (L’enfant ira à l’école quand il aura six ans. Si elle était venue je serais heureux.)).

Les liens coordinatif/subordinatif s’opposent par le caractère bilatéral/unilatéral. De même qu’au niveau de la proposition simple, cette opposition implique l’inégalité grammaticale des unités prédicatives formant la phrase de subordination, et leur égalité dans la phrase de coordination.

Un des composants de la phrase de coordination se rapporte à l’ensemble de l’autre composant: Il avait un verre à la main, comme les autres, mais gardait son sang-froid... (Simenon). Les composants de la phrase de subordination peuvent être en rapport avec un seul terme de la première unité prédicative: Mme Pinteau emporta Elisabeth, qui hurlait. (Troyat).

La différence entre les liens coordinatif/subordinatif au niveau de la phrase complexe s’exprime essentiellement par les conjonctions dont le nombre et la nature grammaticale sont différents dans les deux types de la phrase complexe.

Les coordonnants se trouvent entre les deux propositions sans faire partie de la deuxième, tandis que les subordonnants sont incorporés dans la proposition qu’ils introduisent.

Le coordonnant peut introduire une proposition indépendante: ...il n’y a pas de fatalité extérieure. Mais il y a la une fatalité intérieure... (Saint-Exupéry). Le subordonnant peut lui aussi introduire une unité prédicative, mais celle-ci sera alors une proposition parcellée: Il lui suffisait, à chaque défaillance, de boire un coup de plus pour se remonter. Jusqu’à ce qu’elle tombe. (Simenon)

Dans la langue franҫaise les coordonnants peuvent s’employer en dehors du pronom personnel sujet: Il ne posa pas de questions, mais prit le rendez-vous avec elle pour le lendemain. (Sagan)

Dans la phrase de coordination, le prédicat dans le deuxième élément peut être omis (si tous les deux sont exprimés par le même verbe): Maigret paya ses consommations, James les siennes. (Simenon). Les phrases de subordination ne l’admettent pas.

La phrase-juxtaposition n’est pas une variante des propositions subordonnées ou coordonnées. Elle représente un type à part: Il faisait beau, le ciel s’étendait sur la ville qui semblait sourire. Le moyen essentiel d’expression de la juxtaposition c’est l’intonation. Les moyens secondaires sont l’anaphore pronominale (Il était sauvage, il devient farouche.), les reprises lexicales (Lui, il était heureux. On lui aurait dit de Fraide qui volait, elle l’aurait cru sans étonnement).

Les fonctions primaires de la juxtaposition sont l’énumération, la description, la simultanéité, la suite ou la succession des faits. Les propositions juxtaposées peuvent être employées à la place des propositions coordonnées ou subordonnées et exprimer rapports d’opposition (Il lui parla, elle n’entendait pas.), rapports d’explication, de cause (Tu as beau lui parler, il ne t’écoutera pas.), rapports de conséquence (On attend, on se fatigue d’être assis: on se lève.), rapports de temps ou de condition (Lui faisais-je la réponse exacte, ses lèvres tremblaient de colère.), rapports d’hypothèse, de concession (On lui aurait dit de Fraide qui volait, elle l’aurait cru sans étonnement.).

34. Les propositions subordonnés (la subordination)

Les phrases complexes de subordination comprennent une proposition principal et une ou plus.propositons subordonnés. Du point de vue structurale la phrase complexe du subirdination est liée a l’aide des utils de subordination suivants :

· conjonction subordonante. p.ex que, si, comme

· mot subordonant. p.ex ou, quand, combien, dont

· locution conjonctive. p.ex a condition que, avant que, après que

· inversion du pronom-sujet qui remplie la fonction d’une conjunction dans une phrase concessive ou hypothetique. p.ex Il se sentirait, il malade, il viendrait

· employ de temps et des modes verbaux, c.a.d. la concordance de temps

· reprise pronominal. p.ex Jean a vu son frère, quand il est entré dans la chambre

LES RAPPORTS ENTRE LA PR.PRINCIPAL ET LA PR.SUBORDONNé

· le caractere depandant de la prop.subord. p.ex L’enfant ira a l’ecole, quand il aura 6 ans.

· Indepandance. p.ex L’enfant est si grand qu’il peut aller a l’ecole.

· Les phrases a plusieures degres. p.ex Les crepuscules etaient si rapides que se fut l’ennui avant qu’il eut franchit le portail (бредовый пример)

· Position de la proposition subord. p.ex Quand l’enfant aura 6 ans, il ira a l’ecole.

LES FONCTIONS DE LA PH.COMPLEXE SUBORD.

· La ph.compl.de subord. Marque la depandance entre 2 ou plus.evenements,idees

· Une propos.subord.remplie dans la phrase les memes fonctions syntaxiques qu’un mot dans une propos.indepandante :

-sujet p.ex Qu’elle ne soit pas venue, m’etonne bcp.

-complement-atributif p.ex Mon avis est qu’elle ne viendra pas.

-compl.d’opposition p.ex Je ne veux qu’une chose qu’elle vienne.

-compl.direct p.ex Je savais qu’elle ne viendrait pas

-compl.indirect p.ex Je tiens bcp a ce qu’elle vienne.

-compl.determinatif p.ex La voiture que je t’attendais, ne venait pas.

-compl.d’adjectif p.ex. Desolé qu’elle ne fut pas venue,je m’en aller,

-compl.circonstanciel p.ex. Je suis desolé parce qu’elle n’est pas venue.

35.

La phrase complexe de coordination comprend deux ou plusieurs propositions liées à l’aide des mots coordonnants. Le rapport de coordination est marqué par un mot coordonnant tel que conjonction simple (p.ex. et, mais, ou, donc...), conjonction composée (p.ex. par conséquent, en revanche...), conjonction double (p.ex. ni...ni, tantôt...tantôt, soit...soit, non seulement...mais aussi...), par un adverbe (pourtant, cependant, alors, ainsi...). Les conjonctions proprement dit se placent en tête de la proposition coordonnée. Les adverbes et les locutions peuvent se placer en tête, dans le corps ou même à la fin de la proposition. La proposition coordonnée est d’habitude comprise dans une phrase complexe mais elle peut également commencer après un point. Cela n’empêche pas qu’elle forme un tout avec la proposition précédente: ...il n’y a pas de fatalité extérieure. Mais il y a la une fatalité intérieure... (Saint-Exupéry)

La phrase-juxtaposition n’est pas une variante des propositions subordonnées ou coordonnées. Elle représente un type à part: Il faisait beau, le ciel s’étendait sur la ville qui semblait sourire. Le moyen essentiel d’expression de la juxtaposition c’est l’intonation. Les moyens secondaires sont l’anaphore pronominale (Il était sauvage, il devient farouche.), les reprises lexicales (Lui, il était heureux. On lui aurait dit de Fraide qui volait, elle l’aurait cru sans étonnement).

Les fonctions primaires de la juxtaposition sont l’énumération, la description, la simultanéité, la suite ou la succession des faits. Les propositions juxtaposées peuvent être employées à la place des propositions coordonnées ou subordonnées et exprimer rapports d’opposition (Il lui parla, elle n’entendait pas.), rapports d’explication, de cause (Tu as beau lui parler, il ne t’écoutera pas.), rapports de conséquence (On attend, on se fatigue d’être assis: on se lève.), rapports de temps ou de condition (Lui faisais-je la réponse exacte, ses lèvres tremblaient de colère.), rapports d’hypothèse, de concession (On lui aurait dit de Fraide qui volait, elle l’aurait cru sans étonnement.).

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