Le verbe en tant que partie du discours
Le verbe est la partie du discours qui sert à désigner une propriété dynamique d'une substance exprimée par une action faite ou subie par le sujet de la proposition ou l'état dans lequel il se trouve et qui est representé comme un processus localisé dans le temps. Les substantifs eux aussi sont susceptibles de désigner des actions et des états, mais il les représente comme des notions qui ne sont liées ni à un moment donné du temps, ni à une personne p ex la marche, la lecture. la différence entre le verbe et le substantif en temps que nom d'action conciste en ce que le verbe représente l'action comme un processus qui peut être situé à un moment donné du temps, il marque également la manière dont elle se déroule. En outre le verbe désigne la personne qui est l'auteur de l'action — je pense, nous écrivons.
Remarque --- quand le verbe exprime une action qui d'après sa nature ne peut pas durer infiniment, il se range dans la cathégorie des verbes dit «à terme fixe». Ce grouppe comporte des verbes tels que tomber, entrer, perdre, jeter. On les nomme également terminatifs. Le groupe des verbes dits «sans terme fixe» ou «duratifs» est formé par les verbes dont la signification ne suppose pas des limites naturelles. Regarder, marcher, estimer etc.
Ce classement ne dépend pas immédiatement du sens lexical du verbe, il est fondé sur le rapport existant entre l'action et sa limite et représent la caractéristique lexico-grammaticale du verbe.
Le verbe français a 5 cathégories — personne, voix, mode, transitivité, temps. Les formes personnelles du verbe, ou les formes finies marquent la personne qui accomplit l'action et le nombre de personnes agissantes. Toutes ces notions sont exprimés par la flexion, ou la désignance verbale, par les pronoms personnels conjoints qui accompagnent généralement les formes verbales et par les pronoms disjoints, accompagnant les formes finies et remplaçant ainsi les pronoms conjoints quand le pronom doit être accentué dans la phrase d'une manière spéciale. Ou s'il y a une juxtaposition. P ex elle pleurait et lui était content.
43. La catégorie du voix du verbe
Les formes verbales sont partagées en différentes voix. Cette cathégorie exprime les rapports spécifiques entre le sujet de la proposition et le verbe. 4 voix peuvent être distinguées dans la langue française — la voix active expose le simple fait que le sujet accomplit l'action. P ex les oiseaux chantent. Cette forme ne possède pas de signes grammaticaux spéciaux. Les formes de la voix passive montrent que le sujet subit une action, faite par une personne quelconque qui dans la construction passive est nommé l'agent. La forme passive est construite à l'aide du verbe être autant convenable et le participe passé du verbe conjugué. L'agent de l'action est introduit par les prépositions par et de. P ex ce livre a été écrit par un bon écrivain.
La voix réfléchie marque qu'une action faite par le sujet est dirigée sur lui même. Elle se regarde dans la glace. La voix réfléchie utilise la forme pronominale avec le pronom réfléchi. Les verbes, qui expriment une action, accomplie par 2 ou plusieurs sujet et en meme temps subie par eux représent une variante de la voix réfléchie qui est appelée voix réciproque. Les adversaires se battent.
La voix factitive — qui utilise le verbe faire se combinant avec un infinitif désigne que le sujet de la proposition est l'initiateur d'une action qu'il fait accomplir à qn. P ex des pas lourds faisaient trembler le parquet.
44. Le problème du mode en français contemporain
On distingue traditionnellement 4 modes — indicatif, impératif, conditionnel, subjonctif. Реферовская estime que la division courante des formes verbales du français en 4 modes ne répondrait pas à la réalité de la langue. Toutes les formes verbales désignent les différents nuances modals et toutes les nuances modales peuvent être exprimées par n'importe quelle forme verbale. Au contraire il n'y a pas de valeur modale qui serait spécialement affecté à telle ou telle forme verbale. Même les formes du subjonctif peuvent désigner les actions bien réeles p ex je suis content que vous soyez venus. Ainsi ce forme du subjonctif, auxquelles on attribue rtaditionnelement différentes modèles verbales — expression du doute,de la supposition, des actions irréelles ne possède aucune d'elle. La différences entre les modes conciste en ce qu'il rendent les différents rapports de l'action avec le temps ou plus précisément les différents degrès de l'actualisation de cette action. Gustave Guillome dans son ouvrage temps et verbe écrit que les formes de l'indicatif désignent les actions qui peuvent être situées exactement sur le plan verbal présent, passé, futur.. ces actions peuvent etre affirmées par le sujet parlant indépendament du fait qu'elles sont réelles ou irréélles, c'est à dire indépendament de leurs rapports avec la réalité. Les formes du conditionnel et de l'impératif (excepté quelques verbes) se réunissent avec l'indicatif puisqu'ils expriment une action sujete à une affirmation bien que cette affirmation soit atténuée ou non cathégorique. Les formes qui constituent le groupe du subjonctif expriment les actions que le sujet parlant ne peut pas situer dans un moment donné du temps, et par conséquent le sujet parlant n'a pas la possibilité de les affirmer. Et c'est aussi indépendament de leur rapport avec la réalité, c'est à dire de leur caractère modale.
Ainsi le système du verbe français ne possède pas de formes modales. Реферовская admet seulement les modes indicatifs et subjonctifs non pour désigner les nuances modales, qui n'existent pas , mais pour distinguer 2 grouppes de formes différentes quant à leurs rapports avec la notion du temps. Et se distinguant par le fait d'être ou de ne pas être affirmées par le sujet parlant.
Malgré cette théorie le subjonctif et surtout son existence en qualité de mode indépendant, pose des problèmes. Certains linguistes affirment que le subjonctif n'existe pas en temps que mode et c'est une forme complémentaire qui remplace l'indicatif dans les phrases spécifiques. Le subjonctif exprime beaucoup de nuances qui peuvent être rendus par l'indicatif. Pour resoudre ce problème il faut préciser les cas de l'emploi du subjonctif. Sa première fonction c'est la forme optative dans la proposition indépendante ou principale. Vive la république. Deuxièmement c'est l'emploi dans la subordonnée complétive où sa présence dépend du verbe de la principale — je veux que tu viennes. Ensuite dans les propositions circonstantielles après pourvus que, bien que. Et enfin dans les propositions relatives et cette dernière fonction prouve que le subjonctif est un mode à part parce que employé dans ces phrases il exprime un sens qui ne peut pas etre exprimé par l'indicatif. Comparer — je cherche le chemin qui peut me conduire à la forêt et d'aurre part --- je cherche un chemin qui puisse me conduire à la forêt.
L'indicatif exprime une certitude et le subjonctif la possibilité de l'action. et en ce qui concerne l'expression du temps les formes de l'indicatif situent l'action dans un certain moment du temps et les forme du subjonctif ne le font que d'une manière vague. Ainsi en français il existe 2 modes l'indicatif et le subjonctif.
41. La transitivité et l’intransivité du verbe
Dans la langue française les verbes se divisent en verbes transitifs et intransitifs d'après le fait qu'ils peuvent etre suivis dans la phrase d'un complément direct. P ex je regarde le tableau, j'écris une lettre. L'action désignée par un verbe intransitif est concentrée sur le sujet et ne vise aucun objet. On peut distinguer encore une 3 espèce de verbes — les verbes transitifs indirectes. Dans ce grouppe on range des verbes qui se joignent des compléments à l'aide des prépositions — les enfants obéissent à leurs parents. La transitivité est une caractéristique syntaxique du verbe, le complément qui suit le verbe représent l'objet ou le résultat de l'action exprimée par celui-là. P ex les spéctateurs regardent le film.
Remarque — les substantifs sans prépositions accompagnants les verbes dans la phrase ne supposent pas toujours les compléments directes du verbe — ils peuvent etre les compléments circonstantiels qui servent à désigner le lieux de l'action, le temps, la mesure p ex il travaille 2 heures de suite. Nous avons couru 3 kilomètres. Et ce n'est que l'analyse sémantique de la phrase, qui permet de définir le rôle de tel substantif comme celui du complément direct ou circonstantiel.
Les verbes transitifs indirects s'adjoignent des compléments à l'aide des prépositions tels que à, sur, contre, auprès, après, de. Mais les plus employées sont les prépositions sont à et de. Les verbes transitifs directes et indirectes sont souvent synonimes p ex succéder à et suivre qch, se souvenir de , se rappeller qch,. Cependent la construction sans préposition peut représenter le sens direct du verbe et celle avec préposition un sens figuré. Soit le caractère morale de l'objet. P es applaudir un acteur, applaudir à une décision. Réfléchir la lumière , à un problème.
Dans la langue française les verbes transitifs sont plus employés qu'en russe et de 100 verbes les plus employés, 76 sont transitifs.
Remarque --- il existe une tendence à envisager le fait de la transitivité comme un fait purement sémantique. Certains auteurs bally, debour, considèrent comme transitifs tous verbes exigeants un complément pour le complété et même un complément circonstantiel. P ex Debour dit que dans la phrase il dine à Paris le verbe est intransitif. Tandis que il va à Paris --- transitifs. Car le verbe aller exige l'emploi d'un complément circonstantiel. Mais cette opinion ne semble pas assez solidement fondée . Реферовская estime qu'à première vue il peut sembler que la possibilité de réunir sans préposition un complément à un verbe dépend de la valeur sémantique du verbe. Mais cette valeur même change sous l'influence d'un complément présent dans la phrase. P ex la leçon commence, nous commensons la leçon. Je descent ma valise --- de la montagne.
42. La valence du verbe. La théorie de la valence de L. Tesnière
La signification du verbe est modifié par le fait même qu'elle vise un objet. La cathégorie de la valence est étroitement liée à la cathégorie sémantico-syntaxique de transitivité. La valence exprime la possibilité pour un verbe d'avoir des relations syntaxiques avec toute sorte d'expantion. (expantion — c'est un terme qui se rapporte au verbe). Lucien Tesnière dans sa théorie distingue des verbes avalant, monovalant, bivalant, trivalant et polyvalant. Les verbes du type il pleut sont nommé par ténier avalants, les verbes personnels du point de vue de leur valance peuvent constituer 4 types — monovalant (intransitif) qui désignent l'action consentré sur le sujet et qui ne se passent pas sur l'objet p ex il dort, il marche, la terre tourne.
Les verbes bivalents (transitifs) désignant l'action qui passe sur le sujet — il prépare le repas, Pierre aime sa soeur. Le verbe avec le complément d'objet peut former aussi la construction transitive indirecte ou le verbe s'adjoint le nom à l'aide d'une proposition. P ex il obéit à son père, il est arrivé au sommet.
Une des particularités de la langue française est l'emploi plus large d'un complément d'objet direct dans des constructions bivalentes à comparer au russe. P ex aider qn — помогать кому-то, gouverner qch, suivre qn.
Les verbes trivalants sont suivis de 2 compléments direct et indirect . P ex il donne un livre à un ami. Cette fonction est propre aux verbes donner, prendre, dire, faire, apprendre, présenter, enseigner, expliquer etc.
Les verbes avec 3 compléments d'objet forment des constructions polyvalantes ou le troisième complément est souvent facultatif p ex il traduit un livre du français en russe . Il apporte à marie ce cadeau de Paris.
La cathégorie de la valance est interprétée autrement par Реферовская. Elle estime que le verbe transtitif ainsi que le verbe intransitif peuvent etre monovalant et bivalants. Les verbes monovalants sont ceux qui ne s'emploient que d'une seule façon, c'est à dire seulement trans ou intrans. Monovalant intrnnstitifs sont voyager, aller, exister. Et monovalant intr - partager, exprimer bivalant sont les verbes qui peuvent être employés comme transitifs et intransitifs. La présence ou l'absence auprès de d'un complément direct emmene un changement dans leur sens. Au verbe bivalant appartienne p ex monter, descendre, finir, commencer, continuer, sortir, augmenter etc.
Un verbe quoique bivalant peut etre transitif et intransitif par excellence p ex sont intr de préférence les verbes monter, descendre, sortire, entrer, tomber, travailler. Cependant il peuvent etre employé avec des compléments directes. P ex travailler la matière.
L'emploi transitif de ce verbe provoque la naissance de nouvelle nuance sémantique — au contraire des verbes tels que donner, porter, changer, conduire sont accompagné de compléments dans la plupart des cas, bien qu'ils puissent etre placés comme bivalents. P ex on commence le travail, on finit le travail. Quand les vacances finissent — le travail commence.
Remarque — il faut savoir distinguer la bivalance propre à plusieurs verbes français de l'emploi occasionnelle des verbes.
Ainsi les verbes transitifs peuvent apparaitre occasionnellement dans une phrase sans complément. Dans ce cas le sens de verbe ne change pas bien qu'il devienne plus large. P ex il boit son vin, il boit. Il écrit un poéme, il écrit.
Quand un verbe transitif est employé sans complément nous sommes souvent un présence d'une ellypse. Le complément absent est suggéré par le sens. P ex ne quittez pas (le téléphone, récépteur n'eest pas ajouté).
Le caractère transitif et intransitif des verbes français n'est pas tout à fait net est facile à définir, il n'est pas stable non plus. Il n'y a pas de frontières infranchissables entre les verbes tr et intr. Le même verbe peut admettre 2 emplois. Sans même que sa valeur sémantiqeu en souffre.
40. Le système temporel du verbe
La cathégorie du temps est une cathégorie purement grammaticale parce qu'elle s'étend à tous les verbes du français. Tous les verbes peuvent se mettre au présent, au passé au futur. Les moyens d'espression de cette cathégorie sont très variés, la cathégorie du temps peut etre exprimée syntétiquement à l'aidde des flexions. Je parlais, nous parlames, analitiquement à l'aide d'un verbe auxiliaire ou par une périphrase p ex devoir+ inf.
Le système temporel du verbe français peut etre représntée par des oppositions binaires.
Tout d'abord tous les temps se distinguent d'après le rapport au moment du discours — un temps absolu et un temps relatif.le temps absolu exprime les rapports de l'action au moment du discours, les temps relatifs expriment le rapport de l'action à un autre événement. C'est à dire la simultanéité, l'antériorité, la postériorité.
L'antériorité est exprimé par le plus que parfait, passé antérieur, futur antérieur. La postériorité par le futur dans le passé. L'opposition suivante c'est le caractère achevé ou inachevé de l'action.
De ce point de vue on distingue les temps qui n'expriment pas des nuances aspectuelles et les temps qui expriment l’achevemant de l’action. L’action achevé est rendue car les formes comeposés. Et l’action non-achevé est exprimé par les formes simples.
Probabilité de l’action. On distingue :
- temps hypotetique
- et ce qui exprime une action réels.
Les formes hypothetiques sont : Conditionelle, presant, passé. Et les formes qui expriment les action réél sont : passé simples, passé composé.
Il existe d’après le stycture formel les temps simple (presant), composé (passé composé) et surcomposé (passé surcomposé).
Les fonctions des formes verbales et temporelles.
D’apres ces fonction, les verbes se divise en significatif et auxiliere. Ces desrnier peuvent être verbes auxilieres proprement dit et verbes semi-auxilier. Les verbes significatifs servent à designer les action, les êtats qui se rapport au sujet. Par ex. Les oiseun chantent. Les Verbes avoir et être, ayant une sinignification bien determiner pauvent être empoiler aussi comme vebes auxilieres pour la formation des tamps composés et de la forme passive. Dans ce cas leur rôle est purement formelle. Ils existent des verbes qu’il est imposible d’anvisager comme purement auxilier parce qu’il ne sont pas emploier uniquement pour former des temps composés mais en même temps il ne sont pas tout à fait independent dans la proposition. Il ne sont pas étroitement lier avec un infinitif ou à un particip avec lequel il partage le rôle de predicat. Par ex. venir, aller, voloire etc constituent le grouppe des verbes semi-auxilier, en temps que semi-auxilier ils sont desemantisés à un degré differant. Ils forment un groupe transitoire entre les Verbes significatif et les verbes auxiliers. Par ex. Sa voix vient trater mes oreille. Elle reste passive pandent des jours entiés. Les verbes auxiliers faisant partie d’une forme composé perdent parfois leur valeur sémantique, ils jouent le rôle de signe grammaticaux. Et le Verbe auxilier peut se combiner dans cette fonction avec lui-même. Par ex. Il a au. Il va aller.
La fonction des formes temporelles.
La fonction principale des temps est deplaccer l’acion, exprimé par le predicat dans une des tois division du temps : presant, passé, future. Le moment de la parole n’est pas statique. Gustav Guiellom dans « Temps et verbe » écrit : que chaque parcelle de l’avenir se transforme en presant pour devenir du passé. Une parcelle du passé c’est quelque choses de réel qui a déjà eu lie et une parcelle du future c’est du probable. Généralement les formes du passé exprimes les actions qui ont une lieu dans une passé, le future presente une action comme eune presant dans l’avenir exprime une fonction et le present au moment de la parole. Mais les temps français remplicent quelques fonction secondaires et parmis ces fonction on peut : la transposition temporelle (ici on degage 2 moment : 1. Neutralisation absolue quand le moment de l’action n’est pas precisé on a recout à la forme moins marqué et c’est le present absolu. Par ex. La Terre tourne. 2. Le changement du plan temporelle. Il n’est lié à auciune condition du contexte et ne depend que du sujet parlant. Par ex. Presant historique, future histoque. Une autre fonction secondaire se realise dans l’interation lexicaux-grammaticale. On peut indegager quelque plans :
1. Le decolage entre le sens du verbe et le caractère du sujet. Par ex. L’enfant tombe et la naige tombe. L’action de tomber doit être terminé au moment où l’enfant aura attend la terre. Mais dans « la neige tombe » le mode d’action change son enfluence du sujet l’ultitude de flocon. Et le verbe devienne ici duratif.
2. Le decalage entre le sens de la forme temporel et le sens du verbe. Par ex. Il mourrait en 1880.
Interaction entre la formes temporelle et le sens des complements circonnctancielles. Par ex. J’ai fini dans un instin.
39. Le problème de l’aspect du verbe
La notion du temps est liée à celle de l’aspect. La plupart des linguistes estiment que la notion de l’aspet est soumise à celle du temps, et la forme temporelle traduit cette notion. Ferdinand Brenon dans « La pensé de la langue » et Jean Dubois dans « Grammaire structurale du français » écrivent qu’on distingue deux groupes de temps verbaux qui traduisent tout d’abbort l’opposition aspectuelle. Ce sont des temps simples et des temps composés. Mais l’oposition accomplie, non-auccomplie existe independomant du temps. En outre les formes verbales sont destinés introduit le temps et non pas de l’aspect. Il souligne le caractère du développement de l’action , la manière dont elle sont déroule. Une action peut être répéter plusiere fois. Elle peut être envisage comme un prosesus se déroulons sous nos yeux et niant ni commencement, ni fin. Et toutes ces façons différentes d’envisager une action appartienne de domin de l’aspect. Gak écrit que l’aspet du verbe c’est langée particulier sous lequel l’action est envisagée, c’est la manier de classer l’action dans la duré. Il distingue aspect momentané (Par ex. la bombe eclat), duratif (en train de lire), encoitif (il se met à lire), progressif (le mal va croissant), perfectif (j’ai trouvé se livre), inperfectif (je cherche une solution. La procsimité dans future (il va lire), et dans le passé.
Les nuances aspectuelles sont inirante au formes uni dans un differants. Ils sont très pour les et à peine perspectif dans les autres. Le presant possed une nuance aspectule duratif, autrefois le passé composé pocede une nuance qui exprimer dans l’action present. Il existe une differance imparfait et le passé simple qui du aux diveses caracterestiques aspectuelle de ces deux formes. Toutes les deux cetue dans le passé, mais le passé simple represant l’action globale ou momentané, et imparfait une action.
Le future interiere paut être califié comme forme ahevé.
Le plus-ce-que-parfait et le passé interiere exprime par rapport au moment de passé.
Les formes temporelles exprime tout une serie de notion grammaticale et parme elle on disserna une nuance aspectulle plus au moins pronocé. Le terme non-personnel souligne la différence entre ses formes et le verbe personnel.