TAMGALY – LES RESTES DE L’ÂGE DE BRONZE

L’une des destinations les plus fascinantes du pays est un endroit sacré où vous pourrez admirer des dessins de l’âge de bronze (pétroglyphes), que les nomades de l’ère turque exécutèrent à même la pierre. Cette galerie d’art avant l’heure et ses 4.000 dessins se trouvent à 170 kilomètres au Nord-Ouest d’Almaty, dans l’ensemble de Tamgaly. Proche du canyon se trouvent des monticules de l’âge de bronze et de la période des premiers nomades (du 3ème au 2ème siècle avant notre ère) ainsi que des vestiges de leur habitat. Ce trésor inestimable fut inscrit au patrimoine mondial par l’UNESCO.

Kyz kuu

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Le Kyz kuu/Kyz kuumai (attraper la fille) est un jeu équestre traditionnel originaire du Kazakhstan et Kirghizistan. Ce jeu de course à cheval met en compétition un jeune homme et une jeune femme.

Déroulement du jeu.

L'homme attend sur une ligne de départ que la femme le dépasse au galop. Lorsque la jeune femme passe le jeune homme, il peut lancer à son tour son cheval au galop. Si le jeune homme est capable de rattraper la femme avant d'atteindre la ligne d'arrivée, il remporte la course et peut lui voler un baiser. Dans le cas contraire, la femme fait faire demi-tour à sa monture et poursuit l'homme jusqu'à la ligne de départ. Elle remporte la course, si elle arrive à utiliser son fouet pour le battre.

Drapeau du Kazakhstan

Le drapeau du Kazakhstan est le drapeau national et pavillon marchand de la République du Kazakhstan. Il a comme motif central un aigle des steppes de couleur or, ailes déployées, surmonté d'un soleil à 32 branches de couleur or. L'aigle était le symbole de Genghis Khan, et était aussi présent sur sa bannière.

On trouve le long du guindant un ornement national d'or, typique de l'art et la culture traditionnels kazakhs.

Le fond du drapeau est de couleur bleu turquoise intense qui représente les peuples turcs (Tatars, Mongols, Ouïghours) qui composent le pays. Le bleu turquoise est également la couleur de Tengri, qui est le dieu du ciel dans la mythologie turque

La République socialiste soviétique kazakhe a été créée en décembre 1936 et dissoute le 10 décembre 1991. Le drapeau du pays était à l'image du drapeau de l'URSS; on retrouve la couleur rouge ainsi que la faucille et le marteau du communisme avec le nom du pays inscription en cyrillique. Le 24 janvier 1953, une bande bleue horizontale vient traverser le drapeau et une étoile surmonte la faucille.

Norouz.Le nouvel an persan. Date Entre le 19 et le 22 mars

Le Novruz, Nowrouz, Nooruz, Navruz, Nauroz, Nevruz.

Norouz (en persan: نوروز ; en kurde : Newroz; en turc : Nevruz) est la fête traditionnelle des peuples iraniens et des peuples turcs qui célèbrent le nouvel an du calendrier persan (premier jour du printemps). La fête est célébrée par certaines communautés le 21 mars et par d'autres le jour de l'équinoxe vernal, dont la date varie entre le 20 et le 22 mars. Elle est d'ailleurs aussi considérée par certaines communautés comme une renaissance voire un mythe, et aussi considérée surtout comme une nouvelle année qui s'annonce.Norouz est également appelé en français: Le nouvel an perse / fête du Nouvel An Persan

Nom de la fête. Le mot vient de l'avestique nava, «nouveau» + rəzaŋh, «jour»/«lumière du jour» («nouveau jour»/«nouvelle lumière»), et qui a toujours le même sens en persan (no, «nouveau» + rouz, «jour», signifiant «nouveau jour»).

En kazakh, la forme retenue est Nauryz.Norouz est célébré depuis au moins 3 000 ans et est profondément enraciné parmi les rituels et les traditions du zoroastrisme. Aujourd'hui, la fête de Norouz est célébrée dans de nombreux pays qui ont été des territoires ou qui ont été influencés par l'Empire perse: en dehors de l'Iran, on peut citer le Kurdistan, l'Afghanistan, des parties du Moyen-Orient aussi bien que dans les ex-républiques soviétiques du Tadjikistan, de l'Ouzbékistan, de l'Azerbaïdjan, du Kazakhstan et du Kirghizistan, pays dans lesquels la fête est appelée Navrouz. La fête est aussi célébrée par les Parsis zoroastriens et les hindous de la vallée du Cachemire qui appellent la fête Navreh en Inde ou les Salars, dans la province de Qinghai, en Chine.

Dans la plupart des pays, on accompagne la fête par un Norouz Mubarak (mubarak: félicitations). Au Kurdistan, on dit Newroz pîroz be. Les suivants de la variante Fasli du calendrier zoroastrien célèbrent aussi Norouz comme le premier jour de l'année nouvelle. D'autres variantes du calendrier zoroastrien célèbrent deux fois Norouz, une fois en tant que Jamshedi Navroz, le 21 mars en tant que début du printemps, et un second Norouz a lieu, en juillet/aout (voir Calendrier zoroastrien), en tant que veille de l'année nouvelle ou jour de l'an. Que ce second Norouz soit célébré en tant que dernier jour de l'année (contrairement à ce qu'on pourrait penser d'un terme qui signifie «nouveau jour») pourrait être dû au fait que dans la Perse antique le jour commençait au coucher du soleil, alors qu'ultérieurement, les Perses pensaient que le jour commençait au lever du soleil.

Dans les républiques ex-soviétiques d'Asie centrale, Norouz, le 21 ou 22 mars, est communément considéré comme le « nouvel an des musulmans» (entendre des ethnies de religion musulmane) et donne lieu à des festivités tant religieuses que profanes. Alors que le calendrier persan est très précis concernant le moment astronomique auquel la nouvelle année commence, la période de 24 heures pendant laquelle l'année astronomique commence est considérée comme Norouz.

Le cheval Kazakh, descendant des chevaux sauvages d’Asie

10 choses dont vous avez absolument besoin pour devenir nomade.

Des chevaux sauvages, compagnons indispensables du pasteur, animal totémique du nomade pour qui il signifie la liberté et lui sert même d’unité de mesure des distances.

Des chameaux, pour porter la maison à chaque transhumance et donner un peu de son précieux poil pour fabriquer des cordes ou du fil.

Des moutons, pourvoyeurs de laine à la base de tout l’artisanat en feutre des nomades Kazakhs.

Des chèvres Liaoning pour le cachemire précieux dont la récolte assure la subsistance des éleveurs.

Des loups gris, adversaire ultime à la chasse et promesse de fourrures chaudes pour l’hiver.

Un Burkit,le grand aigle royal, partenaire de chasse, emblème de la tradition et compagnon de vie pour les chasseurs de l’Altaï.

Des terres sauvages pour trouver les pâturages des troupeaux de moutons ou de Yaks.

Une Ger, la maison du nomade, elle le protège du froid, de la pluie et du vent qui tour à tour battent ces terres sauvages et lui permet de recevoir en suivant la tradition d’hospitalité Kazakhe.

Un rouetpour filer la laine (une roue de vélo suffit) afin de produire le feutre indispensable à la fabrication de la yourte.

L’instinct de survie, qui seul dirige le nomade dans la tempête et la steppe gelée.

Entrons dans une «ger», une vue des textiles Kazakh à la maison.Les traditions de textiles des nomades Kazakhs font partie intégrante de la construction de leurs foyers et de la vie quotidienne.

Les femmes maîtrisent la fabrication du feutre, la broderie et le tissage. La yourte est recouverte de feutre, et la laine fournie par le bétail sert à différents usages selon l’espèce qui l’a produite. «La laine du mouton est utilisée pour fabriquer le feutre qui recouvre la yourte l’été. La laine d’agneau est utilisée dans la fabrication des tapis. La laine de chameau, très résistante, est filée et fournit le fil solide qui assemble les tapis en feutre. Les poils du cheval et du yak quant à eux sont utilisés pour faire de la corde.» (Dr. Anna Portisch, http://www.kazakhcraftswomen.co.uk/)

Les femmes du groupe sont responsables de la fabrication des textiles en laine, qu’elles récoltent elles-mêmes du bétail.“Les textiles Kazakh sont fabriqués à la maison, et non dans un atelier à part. Une femme va trouver une heure ou deux dans sa journée entre la vaisselle du petit déjeuner et la préparation du déjeuner pour travailler sur un tapis en feutre ou sur une pièce de broderie.” (Dr. Anna Portisch) Le Syrmaq, artisanat emblématique des nomades Kazakhs.

Tapis de feutre brodé emblématique des nomades Kazakhs.

Le feutre est aussi utilisé pour les tapis et les couvertures «syrmaq» qui recouvrent le sol herbeux de la steppe. Récoltée, lavée, battue, bouillie, roulée, la laine d’agneau est transformée en une couche de feutre qui, doublée d’une deuxième, constituera la base du tapis. La deuxième couche, celle du dessus, est composée d’une mosaïque de morceaux de feutre colorés et contrastés soigneusement disposés en motifs et cousus à la couche inférieure avec du fil en poil de chameau en suivant les contours du motif. La pièce est ensuite matelassée pour assurer sa longévité.

Le Tus kiiz, le coeur de la yourte. Des broderies très élaborées, ou “Tus kiiz”, décorent les murs et les meubles. La «ger» peut contenir 6 ou 7 pièces de broderie, chacune ayant prit jusqu’à 200 heures à fabriquer. Ici, rien est perdu. «Le fil de nylon récupéré des sacs de farine de 50 kg sert à coudre les tapis ensemble” (Dr. Anna Portisch) et les vieux vêtements sont fréquemment défaits afin de réutiliser laine pour la broderie.

Les motifs de ces broderies s’inspirent des arabesques de l’art islamique ancien, dessins complexes de formes géométriques réinterprêtant des formes végétales ou animales. Étant donné l’importance des chèvres ‘Liaoning’ dans la vie des nomades et qui sont gardées précieusement en troupeau par chaque famille, ce n’est pas surprenant qu’un des thèmes dominants de la broderie Kazakh soit un enchevêtrement de cornes de chèvres.

Une ‘ger’ totalement décorée peut-être l’aboutissement du travail de toute une vie, selon Beshlie. Les femmes des chasseurs nomades passent jusqu’à cinq mois par an durant les longs hivers glacés à broder les ‘Tus kiiz ’ pour la ‘ger’. Une jeune nomade commence à broder le jour de son mariage et n’aura de cesse de décorer la Ger tout au long de sa vie. Tout son travail est consacré à la maison.

Brodée à la main, le Tus Kiiz est réalisé au ‘point de boucle’, une chaine de boucles serrées obtenue en tournant le fil autour de l’aiguille à chaque point.

Il n’y a pas de marché organisé pour cet artisanat, même si de temps en temps les Kazakhs vendent quelques pièces dans les festivals ou à d’autres occasions pour gagner un peu d’argent. Cet artisanat traditionnel est transmit de génération en génération, mais comme la vie de nomade devient de plus en plus difficile à maintenir, il est primordial de protéger et de promouvoir ces savoir-faire avant qu’ils ne disparaissent, une nouvelle mission pour cette jeune créatrice anglaise. «Une coopérative de femmes serait formidable afin qu’elles puissent se rassembler et travailler ensemble. Je rêve d’acheter une «ger» pour qu’elles puissent travailler en groupe. Un centre où elles pourraient perpétuer leur artisanat et en vivre.

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